Puisant dans l’électronique, la synth-pop, le rock et la new wave des années 80, l’audacieux nouvel album solo de Claire Tucker, Interior Monolith, semble à première vue s’éloigner des sonorités chambristes et mélancoliques de son premier EP solo Same Old Hunters.
En y regardant de plus près, vous découvrirez des fils conducteurs qui se retrouvent dans tout son travail : des paroles qui vous attirent, le caractère profondément émotif de sa voix et son sens inné de l’accroche et de la mélodie. Tucker est notre type d’artiste préféré – agité, prolifique, ne se contentant jamais de rester au même endroit, et charchant à nous surprendre avec de nouvelles idées et de nouveaux sons.
Pour cela, elle commencé à enregistrer Interior Monolith quelques mois après le début de la pandémie. Après avoir passé une grande partie de l’année dernière en confinement, elle a loué une petite cabane dans les bois à l’extérieur de Seattle a commencé à travailler. La palette sonore de l’album est essentiellement le produit des limitations imposées par l’isolement et ce backlog de chansons et de fragments.
Ainsi, il y a quelque chose d’organique et d’élémentaire dans cet Interior Monolith, approche qui est inhabituelle dans la new wave ou la synth-pop, quelque chose qui ressemble plus à « Running Up That Hill » de Kate Bush qu’à l’angularité de « Sweet Dreams » des Eurythmics. Interior Monolith a beau animé par des percussions et des sons synthétiques échantillonnés, l’album a, au final, été conçu dans les bois de l’État de Washington.
Aussi, bien que le résultat a beaucoup de points communs avec la musique new wave et synth-pop des années 80 l’objectif premier était de créer un sentiment de flottaison et d’énergie plutôt qu’un son spécifique. Il était si facile de sombrer dans une atmopshère boueuse et désespérée en s’enfermant pour véhiculer l’idée que ce projet représentaitune forme personnelle de résistance.
De ce fait, et malgré toute sa sensibilité synth-pop et rock, Tucker choisit de nous faire redescendre doucement, en terminant Interior Monolith par l’introspective « Motorists », une ballade douce et une coda parfaite de l’album qui s’accorderait avec la chamber-pop de Puisant dans l’électronique, la synth-pop, le rock et la new wave des années 80, l’audacieux nouvel album solo de Claire Tucker, Interior Monolith, semble à première vue s’éloigner des sonorités chambristes et mélancoliques de son premier EP solo Same Old Hunters.
En y regardant de plus près, vous découvrirez des fils conducteurs qui se retrouvent dans tout son travail : des paroles qui vous attirent, le caractère profondément émotif de sa voix et son sens inné de l’accroche et de la mélodie. Tucker est notre type d’artiste préféré – agité, prolifique, ne se contentant jamais de rester au même endroit, nous surprenant toujours avec de nouvelles idées et de nouveaux sons.
« J’ai commencé à enregistrer Interior Monolith quelques mois après le début de la pandémie. Après avoir passé une grande partie de l’année dernière en confinement, j’ai loué une petite cabane dans les bois à l’extérieur de Seattle et j’ai commencé à travailler. La palette sonore de l’album est essentiellement le produit des limitations imposées par l’isolement. J’avais un backlog de chansons et de fragments… »
Il y a quelque chose d’organique et d’élémentaire dans Interior Monolith qui est inhabituel dans la new wave ou la synth-pop, quelque chose qui ressemble plus à « Running Up That Hill » de Kate Bush qu’à l’angularité de « Sweet Dreams » des Eurythmics. Interior Monolith est peut-être animé par des tambours et des sons synthétiques échantillonnés, mais l’album a, après tout, été conçu dans les bois de l’État de Washington.
« Bien que le résultat final ait beaucoup de points communs avec la musique new wave et synth-pop des années 80 que j’adore, mon objectif premier était de créer un sentiment de flottaison et d’énergie plutôt qu’un son spécifique. Il était si facile de sombrer dans une boue de désespoir en s’enfermant, et je voulais que ce projet soit une forme personnelle de résistance à cela. »
Malgré toute sa sensibilité synth-pop et rock, Tucker choisit de nous faire redescendre doucement, en terminant Interior Monolith par l’introspective « Motorists », une ballade douce et une coda parfaite de l’album qui s’accorderait avec la chamber-pop de Same Old Hunters. On y trouve ainsi place pour les nombreuses nuances de sa musique, chose qui est l’un des aspects les plus passionnants de son art.
Outre le coproducteur, ingénieur de mixage et percussionniste Cameron Elliott, Interior Monolith comprend la pedal steel, la guitare et les chœurs de Bill Patton, membre du groupe Loose Wing, ainsi que la basse électrique mélodique et langoureuse d’un autre membre du groupe Loose Wing et partenaire de Tucker, Jack Peter.
***1/2