Razorlight s’était fait discret si on fait exception d’un album en solo de Johnny Barrell ; Olympus Sleeping marque donc le retour de notre combo britannique.
Rien de changé dans cette nouvelle livraison si ce n’est une resucée des Libertines ou autres Strokes.
Au programme de ce « revival » : des titres pas trop mal foutus, (« Brighton Pier », « Carry Yourself », ou « Midsummer Girl »), des arrangements toujours aussi bien pros et la ballade mélancolique de rigueur ( le très réussi « Iceman »).
En revanche on regrettera une fin quelque peu faiblarde (« No Answers », « City Of Women ») en accueillant ce retour avec l’attention mitigée qu’il mérite.
**1/2