Davey Havok et ses complices ont survécu à l’apocalypse « emo » et sortent ici, avec le même line-up, leur 10° album en 19 ans. Il faut dire que leur carrière a été erratique après de multiples avanies (un compte Instagram piraté, des informations contradictoires au compte-gouttes) et c’est pour ces raisons que AFI (The Blood Album) était attendu avec circonspection.
Le disque est sans doute un de leurs plus viscéral et d’un attrape-tout qui ne peut que réjouir. Que ce soit les refrains « antnémiques », les « slow burners » et les sentes gothiques les 14 morceaux sont incontournables.
On retiendra l’ « opener » « Dark Show » avec ses vocaux anguleux, l’urgence véhiculée par « Still A Stranger » ou un taciturne « Aurelia » sont les accords en écho nous font parcourir des montagnes russes émotives.
On retiendra aussi le stadium-rock épique de « Beneath You » et, sur un autre registre, le tempo égal de « Feed From The Floor » pour avouter à cette liste de morceaux-phares qui conjuguent le disque.
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