Sur bien des plans, ce combo de Sydney nous fait penser à Oasis. L’histoire de quelques copains se réunissant pour faire de la musique, une approche où faite de bricolage et de désinvolture ; tout cela concourt à ce que ce premier album de DMA’s évoque la même Britpop que les frères Gallagher.
Hills End est, à cet égard, impressionnant dans la mesure où les compositions sont très finement confectionnées et où elles regorgent de ces accroches à la guitare luxuriantes mâtinées de fuzz exubérante et de ces vocaux aboyés comme ils se doivent.
DMA’s sont sur le même label que alt-J et Temper Trap ; ce voisinage ne peut que nous convaincre que le trio va bien au-delà du pastiche.
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