Sublime with Rome: « Sirens »

Quand Sublime était encore sans Rome, sous la direction de Bradwley Nowell aujourd’hui décédé, le groupe maîtrisait parfaitement l’appariement festif et la volonté de subvertir. On avait droit à des assauts grungy aux côté de rythmiques reggae, d’effets techno et de mélodies contagieuses sur les guerres de gangs et autres réjouissances. La music de Sublime était malléable et elle s’écoute aussi bien dans les bars enfumés que dans les chambres où se terrent les asociaux.

Sur Sirens, leur nouvel opus le combo embrasse définitivement ses instincts les plus conviviaux ; les accords de guitares reggae sont plus craquelés et sonnent plus grand, les vocaux sont passés au travers de filtres et d’autotuning et les nappes de synthés entrelacent ces climats d’accroches hédonistes à l’instar de ce « It’s a motherfuckin’ house party » qui semble résumer le disque.

Sirens peut ssmbler plus conventionnel  mais sa musique est enrichie par sophistication et subtilité : ythmes sont complexes, textes intelligents et influences punk ou dubstep permettent à Sublime with Rome de pousser son art vers une musicalité intelligente.

***1/2

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