Malgré leur jeunesse collective, Absolute Zero, le premier album de ce quintette de Dublin est imprégné de nostalgie et de récits de cœurs brisés. « Harper Lee » ouvre l’album et bombarde k’auditeur d’harmonies vocales et de textes bien structurés et introduit une dynamique entre les deux vocalistes Stevie and Faye pour le reste du dique. « My Love Took Me » Down To The River (To Silence Ma) » monterra une versatilité musicale avec une rythmique fortement influencée par le gospel et une incantation qui ne peut qu’évoquer celle de Florence Welch. Indépendamment des comparaisons, ce morceau attent des hauteurs assez remarquables en particulier grpace à la poroduction de Markus Drav : un élange de folk persuasif façon Mulmford & Sons et de grandeur héritée de Arcade Fire.
La plupart des plages sont imprégnés d’onomatopées mélancoliques qui attsient des braises allant dee chorus visant à l’élévation (« Angel Owl » ou « The Consequences of not Sleeping » à des pétillement plus puissants et punchy comme sur « Big Red Dragon » ou « The John Wayne » où les chorus sont presque grandiloquents. Le charme du groupe réside dans cet équilibre mais aussi dans le fait qu’il ne s’appuie pas uniquement sur eux et qu’il est capable de jouer des accords autour des chorus. Ici l’instrumentation devient plus complexe et elle se révèle dans les titres plus lents que sont « Please » et « The Kitchen Floor ».
La seule anomalie à ce disque résidera dans un « Red And Blue » dont la tonalité ambient et synthétique et l’utilisation du vocoder rompront tout sens de continuité à Absolute Zero.
Si ça n’était cela on ne pourrait que se réjouir de l’amalgame unique que fait Little Green Cars de ses influences diverses et se dire, qu’une fois digérées, elles permettront au groupe de parler de ses deux seules voix.




